"L’Afrique fait face à des défis énormes. Je pense que le défi de la natalité reste notre première préoccupation. On ne peut continuer comme cela sans régler les problèmes de population. Le deuxième défi est lié à l’industrialisation, la création de la valeur ajoutée. Quand on regarde nos pays, on parle de taux de croissance de 7 à 8% à quelques exceptions près avec une forte prédominance de l’exploitation des matières premières. Voyez, des pays comme le Tchad ou l’Angola qui sont en difficulté parce que le cours du baril de pétrole a baissé. Nous avons en réalité des croissances artificielles."
Ministère de l’Eau et de l’Assainissement